La Cour Pénale Internationale ne peut pas intervenir en
Syrie ou dans un autre Etat qui ne lui est pas membre. Elle ne s’impose pas devant
un Etat qui reste souverain, mais surtout et aussi qu’elle n’intervient que pour les Etats membres.
Les responsables des organisations féminines sont appelées à comprendre la complexité des affaires traitées au près de la
Cour pour bien mener leurs plaidoyers.
Un message de Paul
MADIDI, porte parole de la CPI en RDC. Il
l’a dit au cours d’une cession d’information et d’échanges tenue à Bukavu sur
la Cour Pénale Internationale.
Au sortir de la session, les responsables des organisations
féminines de Bukavu ont pu reconnaître l’importance
de celle-ci. … reconnait avoir acquis des nouvelles connaissances sur la Cour
Pénale Internationale et le rôle qu’il
joue en RDC.
Après un échange houleux et une séance de questions réponses
sur les affaires des crimes commis en RDC, les responsables se sont dit
satisfaits des réponses données par le porte parole de la CPI.
Selon Paul Madidi, cette
séance d’échange est d’une importance capitale pour les organisations féminines
travaillant au Sud Kivu. Elle permet aux responsables de se situer par rapport
aux différentes situations du terrain et savoir comment canaliser leurs
expériences régulières.
L’Association des Femmes des Médias du Sud Kivu, AFEM SK a
organisé cette cession dans le cadre de son programme de lutte contre l’impunité
des violences sexuelles basées sur le genre en partenariat avec la Cour Pénale Internationale CPI.
Dans des cessions du genre les participants comprennent
mieux la CPI et son mandat.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire