La priorité cette année? La prévention et l'élimination de toutes les formes de violence contre les femmes. Directrice exécutive d'ONU Femmes, Michelle Bachelet, a carrément déclaré: «Assez, c'est assez».
Le monde nous regarde. Comment allons-nous lutter contre la violence de manière efficace, durable, et d'une manière qui préserve la liberté et la dignité volée revient aux femmes et aux filles du monde?
Nous avons besoin de regarder à l'extérieur de la boîte. Bien au-delà. Les vraies solutions se trouvent à la périphérie, dans les esprits créatifs et les alliances inhabituelles.
Parce que quand il s'agit de violence contre les femmes, il n'est pas «typique» victime, le facteur de risque est tout simplement en train de naître femme. Il n'y a pas de génération, la race, la culture, ou d'un groupe socio-économique dont les femmes et les filles sont à l'abri de la violence sous toutes ses formes: violence conjugale, d'agression sexuelle, traite des êtres humains, et les pratiques traditionnelles néfastes. L'une des violations les plus répandues des droits de l'homme, la violence contre les femmes auront un impact direct une femme sur trois vivant aujourd'hui, selon les estimations des Nations Unies.
Si nous avons le moindre espoir de percer, nous devons nous engager à une réflexion audacieuse et de nouveaux partenaires.
Certaines des femmes les plus visionnaires que nous connaissons sont des innovateurs qui prévenir la violence contre les femmes, de fournir aux survivants et aux personnes à risque, et de manière proactive changer la culture qui tolère ou ignore l'exploitation des femmes et des filles. A lire ICI.
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